23 février 2009

21-22 février: we préparation avant le Maroc

Comme dans 3 jours on va au Toubkal, on fait une sortie d'acclimatation au Vignemale.



La célèbre face Nord du Vignemale, vue du refuge des Oulettes de Gaube

le refuge de Baysselance (2651 m), où on dort ce soir.
vue sur Gavarnie:
et voilà, c'était la dernière photo de mon appareil, qui s'est définitivement décomposé en morceaux.

Sinon cette soirée on s'est bien pelé, ce qui ne nous a pas empêché de fêter l'anniv de Jérôme dignement.

Le lendemain, certains iront aux sommet du Vignemale, et d'autres (dont moi) préfèrerons s'arrêter en chemin pour retourner au refuge et finir le paquet de pâtes de la veille.

cash pistache

19 février 2009

Une lettre adressée au président de la République, résumant bien le clivage actuel entre la communauté scientifique et le gouvernement, a été publiée dans le journal Le Monde.


*Monsieur le Président, vous ne mesurez peut-être pas la défiance...*


Je ne pensais pas un jour me retrouver dans la situation qui est la mienne aujourd'hui, à savoir écrire une lettre ouverte au président de la République française : ce qui m'intéresse avant tout, et ce à quoi j'ai choisi de consacrer ma vie professionnelle, c'est de réfléchir à des structures mathématiques, d'en parler avec mes collègues en France et à l'étranger et d'enseigner à mes étudiants. J'ai eu le privilège de voir mes travaux aboutir et récompensés par un prix important. Cela me donne une certaine responsabilité vis-à-vis de ma communauté et me permet aussi d'être un peu plus écouté par les médias et le pouvoir politique.

Comme le montre le sociologue allemand Max Weber dans son diptyque /Le Savant et le Politique/, auquel Barack Obama s'est d'ailleurs implicitement référé dans son discours d'investiture, nous devons partager une même éthique de la responsabilité. C'est au nom de celle-ci que je m'adresse aujourd'hui à vous.

Vous ne mesurez peut-être pas la défiance quasi unanime à votre égard qui s'installe dans notre communauté scientifique. L'unique fois où nous avons pu échanger quelques mots, vous m'avez dit qu'il était important d'arriver à se parler franchement, au-delà des divergences, car cela fait avancer les choses. Permettez-moi donc de nouveau de m'exprimer, mais de manière publique cette fois.

Je m'y sens aussi autorisé par l'extrait suivant du discours que vous aviez prononcé il y a un an lors de votre venue à Orsay pour célébrer le prix Nobel d'Albert Fert : /" La tâche est complexe, et c'est pourquoi j'ai voulu m'entourer des plus grands chercheurs français, dont vous faites partie, pour voir comment on pouvait reconfigurer notre dispositif scientifique et lui rendre le pilotage le plus efficace possible. Je les consulterai régulièrement, ces grands chercheurs, et je veux entendre leurs avis. " /Je vous donne donc mon avis, sans crainte et en toute franchise.

Votre discours du 22 janvier a, en l'espace de quelques minutes, réduit à néant la fragile confiance qui pouvait encore exister entre le milieu scientifique et le pouvoir politique. Il existait certes, déjà, une réaction hostile d'une partie importante de notre communauté aux différents projets mis en place par votre gouvernement et leur motivation idéologique. Mais c'est uniquement de votre discours et de ses conséquences dont je veux parler ici.

Tous les collègues qui l'ont entendu, en direct ou sur Internet, qu'ils soient de droite ou de gauche, en France ou à l'étranger (voir la réaction de la revue /Nature/), sont unanimement catastrophés et choqués. De nombreuses personnes présentes à l'Elysée ce jour-là m'ont dit qu'elles avaient hésité à sortir ostensiblement de la salle, et les réactions indignées fleurissent depuis.

Rappelons que vous vous êtes adressé à un public comprenant de nombreux scientifiques dans le cadre solennel du palais de l'Elysée. Je passerai sur le ton familier et la syntaxe approximative qui sont de nature anecdotique et ont été suffisamment commentés par ailleurs. Lorsque l'on me demande à quoi peut servir une éducation mathématique au lycée pour quelqu'un dont le métier ne nécessitera en fait aucune connaissance scientifique, l'une de mes réponses est que la science permet de former un bon citoyen : sa pratique apprend à discerner un raisonnement juste, motivé et construit d'un semblant de raisonnement fallacieux et erroné.

La rigueur et le questionnement nécessaires, la détermination de la vérité scientifique sont utiles de manière plus large. Votre discours contient des contrevérités flagrantes, des généralisations abusives, des simplifications outrancières, des effets de rhétorique douteux, qui laissent perplexe tout scientifique. Vous parlez de l'importance de l'évaluation, mais la manière dont vous arrivez à vos conclusions est précisément le type de raisonnement hâtif et tendancieux contre lequel tout scientifique et évaluateur rigoureux se doit de lutter.

Nous sommes, croyez-moi, très nombreux à ne pas en avoir cru nos oreilles. Vous, qui êtes un homme politique habile, et vos conseillers, qui connaissent bien le monde universitaire, deviez forcément prévoir les conséquences de votre discours. Je n'arrive pas à comprendre ce qui a bien pu motiver cette brutalité et ce mépris (pour reprendre les termes de Danièle Hervieu-Léger, la présidente du comité que vous avez mis en place ce jour-là), dont l'effet immédiat a été de crisper totalement la situation et de rendre impossible tout échange serein et constructif. De nombreux étudiants ou collègues de premier plan, écoeurés, m'ont informé durant ces quinze derniers jours de leur désir nouveau de partir à l'étranger. J'avoue que cela m'a aussi, un très court instant, traversé l'esprit en écoutant votre intervention sur Internet.

Le peu de considération que vous semblez accorder aux valeurs du métier de scientifique, qui ne se réduisent pas à la caricature que vous en avez faite - compétition et appât du gain -, n'est pas fait pour inciter nos jeunes et brillants étudiants à s'engager dans cette voie. La ministre et vos conseillers nous assurent depuis plus d'un an que vous souhaitez authentiquement et sincèrement aider la recherche scientifique française. Mais vous n'y parviendrez pas en l'humiliant et en la touchant en son principe moteur : l'éthique scientifique.

Comme vous l'expliquez vous-même, la recherche scientifique doit être une priorité pour un pays comme la France. En l'état actuel des choses, il ne semble plus possible à votre gouvernement de demander à la communauté scientifique de lui faire confiance.

De nombreux collègues modérés et conciliants expriment maintenant leur crainte d'être instrumentalisés s'ils acceptent de participer à une discussion ou à une commission. Les cabinets de la ministre de la recherche et du premier ministre ont certainement conscience de l'impasse dans laquelle vous les avez conduits. J'ai essayé de réfléchir ces derniers jours à ce qui serait envisageable pour sauver ce qui peut encore l'être et sortir de l'enlisement actuel.

Un début de solution pourrait être de vous séparer des conseillers qui vous ont aidé à écrire ce discours ainsi que de ceux qui ne vous ont pas alerté sur les conséquences de telles paroles. Ils sont aussi responsables de la situation de défiance massive dans laquelle nous nous trouvons aujourd'hui, et que votre intervention du 22 janvier a cristallisée.

Ils ont commis, à mon sens, une faute grave et c'est votre propre dogme que toute faute mérite évaluation et sanction appropriée. Cela permettrait à notre communauté de reprendre quelque espoir et de travailler à améliorer notre système dans un climat apaisé, de manière moins idéologique et plus transparente.

Il est, pour moi, indispensable de recréer les conditions d'un véritable dialogue. L'organisation de la recherche et de l'enseignement supérieur est certes un chantier urgent mais, comme vous l'aviez noté il y a un an, il est d'une extrême complexité. Sa réforme demande de l'intelligence et de la sérénité. Il n'appartient qu'à vous de corriger le tir. p

*Wendelin Werner*

/Professeur de mathématiques, université Paris-Sud et Ecole normale supérieure/

/Médaille Fields 2006 et membre de l'Académie des sciences/

12 février 2009

Je ne veux pas faire de la propagande partisanne, mais il y a quand même des choses qui me paraissent importantes à diffuser, notamment cet article dans "le Monde" sur "la réforme de la formation des professeurs".


Paru dans Le Monde, édition du mercredi 11 février 2009

Parents d’élèves, si vous saviez…

Le projet actuel de réforme de la formation des maîtres entraînera un dramatique recul pour notre École publique. Qu’on en juge ! Aujourd’hui, après la licence et une année de préparation du concours, les lauréats ont le statut de professeur stagiaire. Ils sont rémunérés durant leur cinquième année d’étude et leur formation se déroule en alternance dans des écoles internes d’universités, les Instituts Universitaires de Formation des Maîtres, et dans des établissements scolaires. C’est ainsi que les futurs professeurs des écoles se voient confier des élèves, en pleine responsabilité, lors de stages occupant un tiers de l’année, dans trois classes différentes. Ce n’est pas parfait. Cette formation est trop courte (un an), elle souffre d’une insuffisante prise en compte des gestes professionnels, d’une trop faible articulation entre la pratique et les apports qui l’éclairent (savoirs disciplinaires, didactique, pédagogie, psychologie, sociologie, histoire de l’école…). Nous ne nous satisfaisons donc pas du statu quo : il faudrait concevoir une formation professionnelle plus longue, qui donne toute sa place à la formation universitaire et joue à fond la carte de l’alternance.

Fallait-il donc rayer d’un trait de plume le système actuel, sans aucune évaluation préalable, et le remplacer aussi vite par un autre, radicalement différent et sans équivalent ailleurs ?

Qu’il faille dispenser une formation disciplinaire de large spectre aux futurs enseignants dans les deux années suivant la licence pour les rendre capables d’intégrer de nouvelles connaissances dans leur enseignement tout au long de leur carrière, cela fait consensus. Qu’il faille renforcer leur formation sur les plans didactique et pédagogique, cela aussi est incontestable. Et que l’on reconnaisse ce plus haut niveau de formation par la délivrance d’un master en est une suite logique.

Mais la condition impérative pour que cela soit possible, c’est le maintien de la formation par alternance. Or, ce n’est pas du tout ce que prévoit le nouveau dispositif, applicable dès septembre. Pendant leur formation, les étudiants ne disposeront au mieux que d’un mois de stage pour s’exercer au métier (en école d’ingénieurs, les stages durent environ six mois), mais tous n’en bénéficieront pas car il n’est pas obligatoire d’en prévoir dans le cursus.

Et comment le pourrait-on quand le ministère promet 40 000 stages pour… 150 000 étudiants ? Heureusement d’ailleurs, pour les rectorats, bien incapables de répondre à la demande, notamment dans les académies qui ont le plus de candidats.

Et même quand les étudiants auront un stage, leur obsession légitime sera de réussir le concours : ses épreuves se situent en janvier et juin de la 2° année de master. Et il est évident que leur préparation empêchera aussi de s’engager sérieusement dans les recherches qu’exige le mémoire de master.

Ensuite, après cette « formation », les débutants devront assurer seuls, sans accompagnement véritable, un enseignement à plein temps à l’année. Ainsi le professeur des écoles qui aura fait un stage d’un mois (dans le meilleur des cas) au CM1 pourra se voir confier, sans expérience préalable, un CP ou une classe de maternelle ! Et le jeune professeur de maths ou d’histoire qui aura pu s’entraîner quelques heures (mais pas toujours) dans un classe de 1re devra enseigner d’emblée à cinq ou six classes allant de la 6e à la 3e dans un collège de banlieue ! Premiers pas inoubliables dans le métier…

Donnerait-on le permis de conduire à des candidats qui n’auraient jamais pris le volant ? Que dirait-on d’une formation d’infirmières qui apprendraient dans les livres à faire les piqûres ? C’est pourtant ce que le ministère s’apprête à décréter. Les conséquences sont hélas prévisibles : les débutants auront du mal à gérer la classe et, malgré eux, ils mettront souvent leurs élèves en difficulté. Les inspecteurs et les chefs d’établissement seront submergés de plaintes, le pourcentage de démissionnaires augmentera, on créera des « cellules de soutien psychologique »…

Cette réforme réussit par ailleurs le tour de force de susciter simultanément de légitimes inquiétudes quant au niveau de maîtrise des disciplines par les futurs enseignants, notamment en raison d’une conception parfaitement hybride des épreuves des concours. La réduction de leur nombre (pour faire des économies) empêchera de s’assurer que les lauréats maîtrisent bien les savoirs et compétences nécessaires pour enseigner les disciplines scolaires. Le comble est atteint avec le concours de professeurs des écoles qui n’aura plus d’épreuve pour vérifier de façon fiable leur capacité à enseigner le français !

Enseigner est un métier qui s’apprend, et qui s’apprend continûment, en même temps qu’une fonction sociale qui exige une permanente mise à jour des connaissances. Or, non seulement le projet ne dit rien de la formation continue des professeurs du secondaire, déjà si restreinte, mais il la met en péril dans le primaire. En effet, actuellement, les professeurs des écoles peuvent bénéficier de la formation continue parce que, lors des stages de formation initiale, leurs jeunes collègues les remplacent dans leur classe. En divisant par 3 la durée de ces stages, on anéantit la formation continue.

On tourne le dos aux conditions du progrès de l’école. La logique globale semble d’abord budgétaire : la suppression du statut de fonctionnaire stagiaire rémunéré équivaut à un plan social de 20 000 postes. Ce sera aux familles de payer les études… Du moins, celles qui le pourront. Cette logique est socialement injuste. Mais le projet met aussi à mal l’égalité territoriale. Le caractère national des concours est fragilisé, dans les départements ruraux, l’existence des sites IUFM installés dans les anciennes Écoles Normales est sérieusement menacée et le gouvernement a engagé les universités dans une concurrence sauvage : on ne peut plus être sûr qu’on formera les mêmes enseignants d’une région à l’autre ou au sein d’une même région tant les conceptions du métier varient d’un projet à l’autre.

Est ainsi en train de se rompre le lien consubstantiel établi depuis Jules Ferry entre l’École, les maîtres et la République, celui d’une formation définie et maîtrisée par l’État. Nous assistons à la dénationalisation de la formation des maîtres, le coeur de l’École publique. Pourquoi les citoyens ne sont-ils pas informés de cette réforme essentielle ? Pourquoi le Parlement n’en est-il pas saisi ? Depuis l’automne, ce projet fait l’unanimité contre lui. La plupart des universités ont demandé un moratoire pour permettre que s’engage une négociation sérieuse autour d’une vraie réforme, plus nécessaire que jamais, à un moment où le métier est de plus en plus difficile. Mais elles ne sont pas entendues.

Pour l’instant, cette obstination a un résultat évident : la pagaille dans le monde universitaire. Le retour des projets de master est imposé pour le 15 février, mais les dernières précisions du ministère datent du 15 janvier et les textes officiels sur les épreuves des concours ne sont toujours pas parus… Que faire devant tant d’irresponsabilité et tant d’irrespect envers les acteurs de la formation ? Au regard des délais, il n’y a plus d’autre solution : les parents d’élèves, appuyés par les parlementaires et les élus locaux attachés à la qualité de notre École, doivent demander l’arrêt d’urgence de ce train fou. Nous en sommes convaincus, le gouvernement devra alors cesser de s’entêter et retirer sa « réforme », maintenir une année de plus les concours actuels, prendre le temps d’évaluer l’existant et organiser l’indispensable négociation. C’est l’esprit républicain et c’est le simple bon sens. Mais il faut agir vite.

Sylvie Clabecq, Professeur des écoles maître formateur, IUFM Pays de Loire, Université de Nantes,
Guy Couarraze, Président de l’Université Paris-Sud 11 (Orsay, Cachan, Sceaux, Châtenay-Malabry, Kremlin- Bicêtre),
Claudine Garcia-Debanc, Professeur des universités, IUFM de Midi-Pyrénées, Université Toulouse 2-Le Mirail,
Sylvain Grandserre, Professeur des écoles, directeur (Seine Maritime), Prix Louis Cros 2007,
Hervé Hamon, écrivain, auteur de Tant qu’il y aura des profs, éditeur, ex-expert auprès du Haut conseil de l’évaluation de l’école,
Jean-Jacques Hazan, président de la FCPE (Fédération des Conseils de Parents d’Élèves de l’École Publique),
Philippe Joutard, historien, ancien recteur, président du groupe d’experts des programmes de l’école primaire de 2002,
Jean-Pierre Kahane, mathématicien, membre de l’Académie des Sciences, membre de son Comité pour l’enseignement des sciences,
Georges Molinié, Président de l’Université Paris 4 (Sorbonne),
André Ouzoulias, Professeur agrégé, IUFM de Versailles, Université de Cergy-Pontoise,
Sylvie Plane, Professeur des universités, IUFM de Paris, Université Paris 4.

07 février 2009

Les américains ont un modèle numérique météo pour toute la Terre (Global Forecasting System) qui donne des prévisions jusqu'à 15 jours!
Les résultats de ces prévisions sont accessibles à tout le monde et on les retrouve notamment sur le site de meteociel.
Bien évidemment les résultats ne sont pas terribles en ce qui concerne la prévision de la pluie.
Par contre la prévision de la position des masses d'air est certainement correcte.

A mon avis, un bon moyen de comprendre comment le modèle prévoit le déplacement de ces masses d'air est de regarder: (1) la pression au sol et le géopotentiel à 500 hPa (je rentre pas dans les détails), (2) la température à 850 hPa (environ 1.5 km d'altitude)


Tentative de prévision pour dans deux semaines:
Les cartes de pression montrent un anticyclone qui s'installe au Nord Ouest de l'Europe (de la Scandinavie jusqu'au golfe de Gascogne) à partir du dimanche 15 février, apportant de l'air Sibérien froid sur toute la France les trois jours suivants.

Pression au sol (isolignes blanches) le dimanche 15 février au matin:

Température à 850 hPa pour le dimanche et début de la semaine qui suit:





A voir si ça se passe comme ça!

01 février 2009

31 janvier - 1 février: ce we on a fait le plan initialement prévu pour le we dernier!

au début on devait être plein de gens mais finalement beaucoup ont eu un empêchement. Moi même j'ai failli renoncer à cause du boulot... à lala la thèse....
bon, maintenant, ZAVKHANMANDAAAAAAAAAAAL!

Y'avait Cédric (l'organisateur), Jérôme, Flo et moi.

samedi: départ de Barège:


refuge de la Glère:

cet aprés-midi il ne fait pas trés beau alors on coupe du bois.
au programme de la soirée: tour de table, mikado, junga, tarot, et dodo!

dimanche: à notre grande surprise, il fait beau!

alors on fait une rando tranquille, histoire de...


le col (notre objectif de la journée)

jojo à la wallegaine style people fly


et le retour sur Barège!
dimanche 25 janvier: ski de piste à Bagnère de Luchon

samedi soir: méchante soirée légume dans un bungalow avec Cédric, Jérôme, Flo, Clément, Annette et moi....
Par contre on a pas pu faire de tour de table, ce sera pour une prochaine fois...

dimanche: ski de piste



c'est vraiment parce qu'il y avait la tempête qu'on a fait ca....